C'est la fin de l'année, plus que 4 jours d'école. Les activités extra scolaires se terminent. Hier c'était la dernière séance du foot de Pierre et du piano des deux grands. Ce soir, dernier cours de Kung Fu. Le théâtre d'Avril étant terminé on en profite mercredi pour essayer une nouvelle activité: ukulélé pour les garçons. C'est eux qui me l'ont demandé suite à l'achat aux Philippines d'un ukulélé il y a 10 jours. Jeudi dernière séance d'escalade et vendredi dernier cours de Basketball.
Pas sure que beaucoup d'activités survivent l'année prochaine. Peut être le basket.
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Avril a tenu bon. Toute l'année les mercredi de 16h30 à 18h elle est allée à un cours de théâtre en anglais. Je pense que ce n'était pas facile. Elle faisait partie des rares à ne pas être "native english". Juste un an de cours bilingue à l'école. Que des amis français donc pas beaucoup d'occasions de pratiquer l'anglais à part les échanges standardisés avec Marika, notre helper.
Il y a donc eu des hauts et des bas. Mais l'équipe chez Faust est vraiment pro. C'est un truc à l'américaine où tout le monde s'encourage, se tape dans les mains. La coach était vraiment très soucieuse et enthousiaste. Le troisième trimestre était centré sur le spectacle de fin d'année. Un truc sur Peter Pan et Capitaine crochet avant que ce dernier devienne vraiment le méchant capitaine crochet. Toutes les semaines il fallait répéter les scènes. Avril m'avait demandé de dire à la prof qu'elle ne voulait pas faire le spectacle ou en tout cas qu'elle ne voulait rien dire comme phrases. Evidemment ca n'a pas trop marché mais j'imagine qu'Avril le savait. Elle avait 10 phrases au total qu'on a du apprendre par coeur. C'étaient des phrases courtes de théatre mais qui n'avait pas tellement de sens du style "For I wish his courage to be so bold", "that and happy thoughts" etc. Les deux semaines précédant le spectacle Avril avait du mal à trouver le sommeil. Elle s'est quand même rendue compte qu'elle connaissait son texte et donc le soir de la première je n'ai pas eu trop de mal à la lâcher. Pour marquer le coup on est allé en famille avec Marika à la représentation tardive, de 20h à 20h45 un soir de semaine. J'ai beau eu avoir lu le texte, je n'ai rien compris. De l'anglais de haute volée prononcé par des enfants... rien de rien mais bon il y avait le jeu de scène, les costumes. Avril s'est fait mangé ses deux dernières lignes mais les 8 premières étaient parfaites. On est rentré, soulagé. J'ai demandé si on continuait l'année prochaine, les 3 enfants avaient l'air partants, on verra dans quelques semaines quand il faudra réserver!! Paradoxalement le week end à Manille m’a fait prendre conscience de certains aspects franchement appréciables de Hong Kong : pas de terrains vagues remplis d’ordures, pas d’enfants qui font la manche aux feux rouges, pas de personnes endormies sur les trottoirs et pas de molosses armés qui regardent les sacs à l’entrée des magasins ou des restaurants.
C’est vrai Hong Kong c’est très sûr. Tellement sûr que la première pensée qu’on a quand on a oublié un sac dans le métro ou dans un lieu n’est pas bon sang c’est perdu mais zut où vais-je trouver le numéro de téléphone des objets trouvés. Une illustration toute fraîche à notre retour de week end. Ulysse a oublié son sac à dos dans la navette qui nous a ramené de l’aéroport. On s’en rend compte sur le chemin de la maison. Il est 19h un lundi férié. J’appelle les objets trouvés du métro (MTR ici) normalement ouvert jusqu’à 20h. Je laisse un message. Un peu dépitée je me mets en quête du numéro direct de la station terminus de la navette. Mon téléphone sonne, c’est « les objets trouvés » qui me rappelle (ca on est d’accord c’est impossible en France), je décris le sac donne mes coordonnées précises. On me rappelle 10 minutes plus tard, ils ont retrouvé le sac, ils conseillent de venir le chercher sans attendre le lendemain pour que cela soit plus efficace. Matthieu le récupérera 30 minutes plus tard. Là c’est sûr que cela fait aimer le système efficace du MTR et aussi le fait que la criminalité à Hong Kong (y compris le vol ou le non rendu d’objets abandonnés) est au plus bas. Quand on nous demande comment c’est la vie à Hong Kong, on a plein de choses à raconter. Des trucs bien et des trucs moins bien, dont ce blog se fait souvent l’écho. Il y a en outre un point que j’ai un peu de mal à expliquer : un des côtés désagréables de la société hongkongaise tient au fait qu’elle est profondément dépressive. J'ai du mal à convaincre, parce que, bah, après tout, la France, comme une bonne partie de l'Europe est aussi dépressive, non? Et bien, non, du moins pas comme Hong Kong. C’est quelque chose qui m’a marqué cette année, alors que mes cours m’amenaient à discuter avec les étudiants de Hong Kong en général et de leur vie en particulier. Il ressortait systématiquement de ces discussions que les jeunes hongkongais, dans une grande proportion, ont une vision noire, désespérée et désespérante de leur avenir. Et ils sont résignés. Bien sûr, il y a des mouvements de protestation. Mais depuis l’échec de la révolution des parapluies, une bonne partie des jeunes semblent avoir abandonné l’idée d’être heureux un jour et de pouvoir changer quoi que ce soit à cet état de fait. Leur avenir est pourri, il n’y a rien à y faire et ils ont renoncé à faire preuve de volonté et de créativité pour construire quelque chose qui leur conviendrait mieux. Alors voilà, pour mes interlocuteurs souvent dubitatifs, un exemple pour mieux comprendre. L’autre jour, à la fac, on avait une réunion de l’ensemble des profs pour discuter du cas des étudiants en échec. A l’appuis de leur demande de rattrapage, les étudiants joignaient une lettre expliquant le pourquoi de leurs mauvais résultats. Du classique : maladie, problèmes familiaux, nécessité d’avoir un petit boulot chronophage... Mais l’un d’entre eux a mis noir sur blanc ce que beaucoup m’ont dit par ailleurs. C’est là-dessous et j'imagine mal un étudiant français, tout aussi pessimiste qu'il soit, écrire un truc pareil. (pour info, 15K de dollars de Hong Kong, c'est grosso-modo 1 500 euros et 200 pieds carrés, c'est un peu plus de 18m2) :
Plutôt que de profiter du Dragon Boat festival pour regarder les équipes ramer au son des tambours, on a profité du jour férié pour découvrir Manille. On se doutait bien que ce n’était pas une destination de rêve mais, sur un week-end de trois jours, on n’avait pas le temps d’explorer plus loin les Philippines. Trève de suspens : on vous confirme que Manille peut figurer assez bas dans votre liste des villes à voir absolument avant de mourir. Les américains n'ayant pas fait dans le détail pour déloger les japonais, la ville a été totalement détruite pendant la guerre. Il ne reste pas grand-chose des constructions coloniales espagnoles : juste une vague muraille qui entoure un centre « historique » (judicieusement nommé intramuros) qui contient une église globalement préservée des bombardements, quelques maisons coloniales reconstruites après-guerre, des bâtiments administratifs et… des bicoques en tôles où vit tranquillement une population qui n’a pas grand-chose. La misère est en effet l’un des traits saillant qui ressort de la visite de la ville : des familles entières vivent dans la rue, d’autres s’entassent dans des cabanes plantées ici et là en pleine ville. Les gens sont gentils et on ne ressent pas d’insécurité excessive (mais les gardes armés postés à l’entrée de tous les bâtiments et boutiques laissent supposer que tout n'est pas paisible), mais c’est triste. En général, il règne à Manille une ambiance assez caribéenne : chaleur, humidité, pauvreté, inégalités, mélange de culture espagnoles et américaines… Notre programme de visite a tout de même été assez rempli : on a coché un bon nombre des sites pointés par le lonely planet, et on est revenu enrichi d’un aperçu de la culture et de l’histoire (bien triste) des Philippines. Notre appartement était situé à proximité d’intramuros, juste en face du parc José Rizal. Vous ne connaissez pas José Rizal ?? Et bien nous oui. Ce personnage central de l’opération de « nation building » des Philippines est incontournable. C’est un jeune intellectuel qui s’est opposé, à la fin du XIXe au pouvoir colonial espagnol, ce qui lui a valu d’être fusillé à l’âge de 35 ans, non sans avoir laissé quelques rimes poignantes exaltant la liberté et l’unité du peuple philippin. Il faut dire qu’il avait toutes les qualités requises pour en faire un héro : mi-authoctone (tagal) mi-chinois pour ne froisser aucune communauté, très éduqué (il était docteur et polyglote) dans un pays où les colons espagnols n’ont pas mis une piastre dans l’éducation des masses, dramaturge, romancier et poète, beau gosse qui a eu le bon goût de mourrir jeune et tragiquement. Le candidat idéal. Au point que la légende en a sans doute rajouté un peu : on dit qu’il parlait 23 langues, que c’était un grand peintre et sculpteur (on a vu ses œuvres : c’est pas vrai), qu’il est - pour avoir laissé 3 gribouillis pour la postérité - le père de la bande dessinée philippine, qu’il a même gagné à la loterie nationale (ça, soit c’est un truc inventé pour rendre plus acceptable sa grande fortune, soit c’est vrai et il y a de quoi douter de la justice divine). L’essentiel du parc Rizal lui est consacré (logique), de même que l’ensemble des ruines du fort où il a été enfermé et une large part du musée de l’histoire coloniale. L’icône a même été récupérée par une marque très trendy qui vend des T-Shirt à son effigie pour le prix du salaire moyen philippin. Manille accueille aussi quelques très beaux musées sur l’histoire du pays (maquettes de galions espagnols, vitrines contenant des figurines représentant les scènes clés de l’histoire, etc) ; les antiquités (poteries et autres vestiges du commerce entre l’Asie et les Amériques, bijoux en or produits par les peuples des iles de l’archipel, etc) ; la communauté chinoise (avec bien sûr une longue ode à Rizal, héros national et non-moins chinois). Il y a aussi, parait-il, un beau musée d’art contemporain, mais on n’a pas eu le temps.
On s’est aussi promené, à pieds et en calèche (après une pression amicale mais sacrément insistante de Pierre) dans intramuros. Quelques rues sympas, mais sans plus, dans un mélange de maisons coloniales et de bidonville ; deux-trois boutiques (avec les incontournables locaux : des mangues séchées, des paniers en osier, des objets en bois – dont des awalés, très prisés ici aussi de même qu’en Malaisie) ; une cathédrale et une église qui, tout au long du week-end, enchainait les mariages en grande pompe. On s’est retrouvé, le samedi midi, dans un restaurant installé dans une grande maison coloniale. Un genre de grande auberge ibérique, bourgeoise et surannée, qui semblait être l’endroit idéal pour venir célébrer en famille les 80 ans de mamie. Il y avait un grand buffet où Avril s’est découverte une passion immodérée pour l’ile flottante. C’était bien alors on y est retourné le lendemain soir pour assister en prime au spectacle de danses folkloriques (essentiellement espagnoles). Enfin, un des principaux attraits touristiques de la ville, ce sont ses moyens de transports. On trouve dans les rues un grand nombre de tuk-tuk locaux, encore plus pourris que dans beaucoup de pays et dont la plupart sont tirés par des vélos (ce qui en dit quand même pas mal sur le niveau de pauvreté). Mais les rois de l’asphalte, ce sont les Jeepneys, ces mini-bus construits sur des bases de jeep qui sont décorées avec une flamboyance toute latine. Les passagers s’y entassent, face à face sur des longs bancs, comme des bidasses, et font passer le prix du trajet de main en main jusqu’au chauffeur. Il en pétarade partout dans la ville, dans un grand concours de chrome et de peinture. On en trouve à la gloire de Hello Kitty ou de Bob Marley, mais la plupart rendent un hommage très peu discret au Christ roi ou à la Sainte vierge. Le bilan du week end. Bon, disons que c’est fait. Mais, même s’il y a peu de chance qu’on y retourne, on est revenu à notre confort hongkongais avec une certaine tendresse pour ce pays qui sait réunir si bien l’ensemble des tragédies, blocages et gâchis caractéristiques des pays en (non) développement. NB. J’oubliais : on a aussi consacré notre soirée du samedi à soutenir l’entrée en lice des bleus pour la coupe du monde 2018 : France / Australie. Le foot n’est pas du tout au centre des préoccupations dans le pays (c’est là qu’on voit qu’on est pas en Amérique latine) où l’on préfère le basket et la boxe. Mais on s’est déniché un pub qui retransmettait les matchs du Mondial. Les enfants, affublés pour l’occasion de leurs maillots tricolores du lycée français, ont pu y narguer bruyamment les tablées d’expats australiens. Appel sur mon téléphone portable, il est 11h30. C'est la directrice des petits lascars. C'est pas bon signe. Je décroche, c'est pour Ulysse, il s'est mis soudainement à avoir mal au ventre. Il a un peu de fièvre. Comme il est pas du style à faire de la comédie elle me dit penser que c'est sérieux. Je le récupère à 12h, recroquevillé sur une banquette pendant que les autres enfants sont attablés. Il a mal. Le problème avec lui c'est que c'est pas dans la demie mesure. Quand on a fait les vaccins avant de partir pour Hong Kong (on n'a pas fait dans le détail et avons tout fait de la rage à l'encéphalite japonaise) il était capable d'hurler pendant 30 minutes avant et après le vaccin. Bref, je lui propose de rentrer à la maison. On tente d'attraper un taxi mais impossible de les faire traverser pour aller chez nous, la poisse. Ulysse se tordait de douleur, assis sur le trottoir. Je me dis qu'il faut peut-être aller voir un docteur quand même. Ma généraliste juste à côté ne peut pas. C'est donc parti pour l'hôpital où on était allé pour les points de suture de Pierre. Taxi trouvé immédiatement, en 10 minutes je me retrouvais avec mon fils hurlant à la mort devant le guichet d'admission. Le docteur tout en flegme me dit que c'est sans doute des crampes d'estomac. Ok... bon il va donner un médicament à mon fils toujours hurlant qu'il va mourir et on va attendre 30 minutes. Si ça se calme c'est donc que c'était mineur, si ça ne se calme pas il faudrait pousser plus loin et penser à des choses plus rudes comme l'appendicite. C'est parti pour une attente insupportable.. celle de l'infirmière partie chercher le médicament à la pharmacie de l'hôpital. Ulysse caché sous sa couverture souffre et pas en silence. J'ai eu une petite crainte car 15 minutes après l'ingestion de ce qui s'est révélé être du gastro gel donc un produit contre les brûlures d’estomac et les remontées acides, Ulysse râlait toujours. Mais 2 minutes plus tard, il s'était endormi.
Voilà, le temps de régler (pas cher 35 euros), on est reparti à pieds pour le centre ville. Il allait bien, reposé après sa sieste et content d''être par un si beau temps avec sa maman que pour lui. Depuis il s'est plaint de son ventre plusieurs fois. Je vais donc chercher un traitement de fond. En tout cas rassurée de ne pas devoir gérer une appendicite à Hong Kong!! Vacances riment ici avec Disneyland. Je n'ai pas compté exactement mais ça doit bien être la 6ème fois que j'y vais. On est en terrain connu. Les enfants ont même du mal à trouver quelque chose à désirer dans les boutiques vu qu'ils se sont pratiquement déjà tout fait acheter. On se paye même le luxe de ne pas assister à la parade parce qu'on la connaît par coeur et on essaye maintenant de cibler les nouveautés. Depuis la dernière fois qu'on y est allé les travaux ont un peu avancé (un gros truc se prépare). Le jour exact de notre visite avait lieu le lancement du nouveau spectacle de Moana (Vaiana en français) . On était donc aux premières lignes, à 11h pétante pour y assister. On commence peut être à être blasé mais c'était pas terrible. Sur la photo ci dessous on voit Moana (bon c'est pas la top ressemblance mais ca va) et à droite ce qui est censé être Maui (pour rappel un demi-dieu autrefois puissant et qui est dans le film une sacrée barraque). Force est de constater qu'il y a comme un décalage. Bon sinon le coq était bien et le scénario était respecté. Une bonne musique aussi avec de deux gros bras jouant des percussions et des tambours à disposition pour les enfants. Pour la petite histoire, Avril, qui est retournée à Disneyland 7 jours plus tard pour l'anniversaire de sa copine Alessia, a posé avec eux et cela donnait la photo suivante, cool non? Sinon on a vu Spiderman qui se baladait et on a assisté pour la première fois à l'animation far west à côté de l'attraction phare de "Big Grizzly Mountain Runaway Mine Cars". Pierre hélas ne peut toujours pas y participer il lui manque 1 cm pour atteindre les 112 de rigueur et ca rigole pas à Disneyland avec les limites de taille. Bref, il va falloir revenir...
Depuis presque un mois on se demande où est passée la pollution. Les voyants sont au vert, le dépollueur est éteint et surtout quand on ouvre la fenêtre le matin on la voit. La baie de Hong Kong et ses tours. Le soir avec les lumières ... un simple iphone donne le même rendu que l'image classique des photographes professionnels. C'est beau!! C'est d'autant plus étrange qu'il fait chaud, même très chaud. On est en alerte "Very hot". Je me serais attendue à des pics d'ozone mais non mon détecteur de pollution est formel et me dit "Air quality is excellent". Franchement le ciel bleu ca fait du bien au moral!!
Le grand changement annoncé pour l'année prochaine c'est l'entrée au Lycée Français International de HK. On a eu les confirmations d'admission pour les 3 enfants, sur le même site de TKO dont j'ai parlé dans un billet précédent. On est content car on a compris qu'il y a un peu de tension notamment sur la classe de CE1 (le niveau d'Ulysse) et que certains de ses copains actuels risquent de ne pas pouvoir y aller et devoir rester sur le vieux campus de l'île. Bref dès septembre ça sera bâtiment tout neuf, bus scolaire pour y aller, et uniformes. Sans vouloir rentrer dans le débat qui est d'actualité en France sur le port de l'uniforme j'avoue que cela me fait rigoler de voir mes enfants en porter dans un contexte étranger où cela ne déchaine pas les passions et les incompréhensions. Ca va en outre faciliter la logistique du matin pour l'habillage. Une tenue de ville et une tenue de sport pour le jour hebdomadaire de sport donc... Pas de prise de tête. Il se trouve que la boutique des tenues de sport est dans la rue à côté de chez nous alors on a pas résisté à y aller et à acheter un set. Les enfants ont voulu les porter directement et donc on s'est baladé tout le samedi avec nos enfants tricolores. Ca ne dénotait pas tant que cela car il semble qu'un certain nombre d'écoles locales (mais pas internationales) ouvrent le samedi. Il n'est d'ailleurs pas rare de voir les écoliers (quasi tous en uniformes à Hong Kong) en sortie scolaire lors de nos excursions les week ends. On va attendre mi aout pour commander les uniformes de ville pour voir comment les enfants grandissent pendant l'été. Avril a du prendre 10 cm depuis l'année dernière. On imagine qu'Ulysse va bientôt prendre son envol. Pierre est à 1cm pour le seuil des attractions à Disneyland (on y est retourné il y a 10 jours). Bref normalement en septembre on devrait avoir trois grands à la maison, en bleu blanc rouge!!
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